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Haute-Saône : Béni soit le vomi
A en croire les lettres d'adieu qu'elle avait rédigées à l'intention de sa famille, la volonté de cette quinquagénaire de mettre fin à ses jours en raison d'une douloureuse peine de cœur n'avait pas semblé être une décision prise à la légère. Restait juste à trouver l'endroit idéal et la force nécessaire pour passer à l'acte.
Ce que la malheureuse avait donc projeté de faire en décembre dernier, en prenant pour cela sa voiture sous l'emprise de l'alcool : bien assez pintée pour espérer passer de vie à trépas dans un état second… mais un peu trop cependant pour, avant tout, arriver à destination.
Et c'est ainsi victime d'un accident sans gravité sur la route que la conductrice désespérée interrompait brusquement sa course après la mort. Course qu'elle n'a pas reprise depuis, comme elle l'affirmait elle-même hier devant le tribunal de Vesoul, où elle devait malgré tout répondre de « conduite en état d'ivresse manifeste », pour finalement écoper d'une peine compatissante de quatre petits mois de suspension de permis.
Après avoir lu l'intitulé de cet article, vous vous dites qu'il serait alors peut-être temps de "cracher le morceau". Et vous ne sauriez mieux l'exiger. Car si aujourd'hui cette habitante de Gray-la-Ville est encore en vie, ce n'est pas tant par le fruit du hasard que par celui de sa digestion.
Son estomac mis à mal par une trop forte consommation d'alcool (2,31 g par litre de sang), c'est en effet après avoir vomi que la suicidaire repentie avait eu son accident salvateur…
Dans le genre service "rendu", on peut difficilement faire mieux.
GéPé
Ce que la malheureuse avait donc projeté de faire en décembre dernier, en prenant pour cela sa voiture sous l'emprise de l'alcool : bien assez pintée pour espérer passer de vie à trépas dans un état second… mais un peu trop cependant pour, avant tout, arriver à destination.
Et c'est ainsi victime d'un accident sans gravité sur la route que la conductrice désespérée interrompait brusquement sa course après la mort. Course qu'elle n'a pas reprise depuis, comme elle l'affirmait elle-même hier devant le tribunal de Vesoul, où elle devait malgré tout répondre de « conduite en état d'ivresse manifeste », pour finalement écoper d'une peine compatissante de quatre petits mois de suspension de permis.
Après avoir lu l'intitulé de cet article, vous vous dites qu'il serait alors peut-être temps de "cracher le morceau". Et vous ne sauriez mieux l'exiger. Car si aujourd'hui cette habitante de Gray-la-Ville est encore en vie, ce n'est pas tant par le fruit du hasard que par celui de sa digestion.
Son estomac mis à mal par une trop forte consommation d'alcool (2,31 g par litre de sang), c'est en effet après avoir vomi que la suicidaire repentie avait eu son accident salvateur…
Dans le genre service "rendu", on peut difficilement faire mieux.
GéPé
Publié le jeudi 3 octobre 2013 à 13h12