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Condamné à de la prison ferme, il veut toujours élever 18 000 visons
Les visons sont des petites bêtes charmantes, mais qui ont un défaut : leur fourrure est tellement douce que les humains ne peuvent s'empêcher d'en faire commerce.
A Emagny (25), un élevage de visons qui compte déjà 5 000 bêtes était en attente pour recevoir une précieuse autorisation : celle de passer à 18 000 têtes.
Alors que l'éleveur avait déjà reçu cette autorisation en juillet 2017, des associations de défense des animaux avaient saisi la justice pour l'annuler.
En effet, l'éleveur avait été condamné en 2016 à de la prison ferme pour non respect de la réglementation en matière d'élevage - qui s'était avéré purement et simplement illégal !
Le droit à l'erreur n'a donc pas joué en faveur de l'homme qui s'est vu signifié, par arrêté préfectoral, que les projets d'extension de son élevage étaient finalement interdits.
Emagny perd donc deux créations d'emploi et le massacre des animaux se poursuivra quand même pour les 5 000 petites créatures.
A Emagny (25), un élevage de visons qui compte déjà 5 000 bêtes était en attente pour recevoir une précieuse autorisation : celle de passer à 18 000 têtes.
Alors que l'éleveur avait déjà reçu cette autorisation en juillet 2017, des associations de défense des animaux avaient saisi la justice pour l'annuler.
En effet, l'éleveur avait été condamné en 2016 à de la prison ferme pour non respect de la réglementation en matière d'élevage - qui s'était avéré purement et simplement illégal !
Le droit à l'erreur n'a donc pas joué en faveur de l'homme qui s'est vu signifié, par arrêté préfectoral, que les projets d'extension de son élevage étaient finalement interdits.
Emagny perd donc deux créations d'emploi et le massacre des animaux se poursuivra quand même pour les 5 000 petites créatures.
Publié le mardi 16 janvier 2018 à 09h09