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Loyat : "Nous ne cachons rien aux habitants des Vaîtes"
Samedi 24 mars,l'architecte François Grether en charge du dossier des Vaîtes assurait aux habitants que seules 4 à 5 maisons seraient menacées de déconstruction dans le cadre du projet de rénovation du quartier. Il assurait également que ces maisons seraient identifiées “sous quinze jours”. Deux mois plus tard, les Vaîtois attendent toujours…
Pour Michel Loyat, adjoint au maire en charge de l'urbanisme, ce n'est plus qu'une question de jours. Extraits de l'interview à lire dans L'Hebdo de Besançon :
L’hebdo de besançon : Le 24 mars, François Grether assurait que les maisons menacées aux Vaîtes seraient identifiées "sous 15 jours". Cela fait deux mois, on attend toujours…
Michel Loyat : On a toujours tort de donner des dates précises. C'est vrai que nous avions annoncé 15 jours, et que cela fait deux mois. Je comprends l'impatience des habitants de ce quartier, mais je peux vous assurer que ce dossier avance. Aujourd'hui, je suis en mesure de confirmer que moins de 10 maisons seront détruites. Dès que tout cela sera clair, je recevrai individuellement chaque propriétaire.
L'Hebdo : Vous les recevrez, d'accord… mais quand ?
M. Loyat : Très vite. Dans les jours qui viennent. D'ici quinze jours, tout le monde sera fixé. Mais je tiens à préciser que nous ne cachons rien aux habitants. Je n'ai pas de plan tout fait entre les mains que je refuserais de dévoiler.
L'Hebdo : A quel prix rachèterez-vous les maisons ?
M. Loyat : Pour les maisons et ce qu'on appelle les "terrains d'aisance", ce sera le prix du marché.
L'Hebdo :Quand vous recevrez les propriétaires, serez-vous en mesure de les renseigner sur le prix de rachat des terrains, source de grandes inquiétudes pour eux ?
M. Loyat : Pour cela, c'est beaucoup plus compliqué. Le prix du terrain ne peut être fixé au début de l'élaboration du projet, puisqu'il dépend de ce que l'on compte faire du terrain racheté. Le prix de rachat n'est pas le même pour un terrain destiné à être un espace vert et pour un terrain destiné à recevoir un équipement public.
L'Hebdo : Certains soupçonnent la Ville de ne rien vouloir annoncer avant les élections…
M. Loyat : Je m'inscris en faux ! Déjà, on ne connaît même pas encore la date des élections municipales… Ensuite, le maire a déjà dit à plusieurs reprises que le dossier était en route et qu'il n'y aurait pas de "pause électorale". Je le confirme.
Pour Michel Loyat, adjoint au maire en charge de l'urbanisme, ce n'est plus qu'une question de jours. Extraits de l'interview à lire dans L'Hebdo de Besançon :
L’hebdo de besançon : Le 24 mars, François Grether assurait que les maisons menacées aux Vaîtes seraient identifiées "sous 15 jours". Cela fait deux mois, on attend toujours…
Michel Loyat : On a toujours tort de donner des dates précises. C'est vrai que nous avions annoncé 15 jours, et que cela fait deux mois. Je comprends l'impatience des habitants de ce quartier, mais je peux vous assurer que ce dossier avance. Aujourd'hui, je suis en mesure de confirmer que moins de 10 maisons seront détruites. Dès que tout cela sera clair, je recevrai individuellement chaque propriétaire.
L'Hebdo : Vous les recevrez, d'accord… mais quand ?
M. Loyat : Très vite. Dans les jours qui viennent. D'ici quinze jours, tout le monde sera fixé. Mais je tiens à préciser que nous ne cachons rien aux habitants. Je n'ai pas de plan tout fait entre les mains que je refuserais de dévoiler.
L'Hebdo : A quel prix rachèterez-vous les maisons ?
M. Loyat : Pour les maisons et ce qu'on appelle les "terrains d'aisance", ce sera le prix du marché.
L'Hebdo :Quand vous recevrez les propriétaires, serez-vous en mesure de les renseigner sur le prix de rachat des terrains, source de grandes inquiétudes pour eux ?
M. Loyat : Pour cela, c'est beaucoup plus compliqué. Le prix du terrain ne peut être fixé au début de l'élaboration du projet, puisqu'il dépend de ce que l'on compte faire du terrain racheté. Le prix de rachat n'est pas le même pour un terrain destiné à être un espace vert et pour un terrain destiné à recevoir un équipement public.
L'Hebdo : Certains soupçonnent la Ville de ne rien vouloir annoncer avant les élections…
M. Loyat : Je m'inscris en faux ! Déjà, on ne connaît même pas encore la date des élections municipales… Ensuite, le maire a déjà dit à plusieurs reprises que le dossier était en route et qu'il n'y aurait pas de "pause électorale". Je le confirme.
Publié le vendredi 25 mai 2007 à 09h41