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Meurtre d'un lycéen à Belfort : le principal suspect accuse trois dealers
Un jeune homme de 18 ans, mis en examen pour le meurtre d'un lycéen de sa connaissance en novembre dernier à Belfort, a imputé le crime à trois dealers, mercredi lors de son audition devant le juge d'instruction de Montbéliard (Doubs), a rapporté son avocat.
Le jour du drame, le 27 novembre, le mis en examen et la victime, Pierre Nasica, 15 ans, "sont allés à un rendez-vous avec trois dealers au pied des fortifications de Belfort", a expliqué Me Alain Dreyfus-Schmidt.
"Les dealers, âgés d'environ 25 ans, ont violemment frappé Pierre et ont laissé partir mon client qui ne s'imaginait pas qu'ils allaient le tuer", a-t-il ajouté.
"Il ne connaît que les prénoms des ces personnes, mais il est prêt à les identifier. D'après lui, ce sont des personnes qui sont connues pour vendre de la drogue à Belfort".
D'après l'avocat, les deux jeunes garçons avaient une dette de 600 euros envers des dealers pour un trafic de haschisch et de cocaïne.
"Impliqué dans un trafic de drogue, mon client n'a pas prévenu les gendarmes lors de la disparition de Pierre. Quand on a retrouvé son corps, il est resté terré chez lui, terrifié à l'idée que les agresseurs puissent s'en prendre à lui", a dit Me Dreyfus-Schmidt.
L'avocat, qui "viole le secret de l'instruction dans l'intérêt de (son) client", a demandé sa remise en liberté.
Le jeune de 18 ans avait été mis en examen pour "homicide volontaire" et incarcéré en janvier. Il avait toujours nié les faits.
Pierre Nasica, un lycéen âgé de 15 ans, avait disparu le 27 novembre. Son cadavre, les mains liées et portant des traces de coups, a été découvert par la police le 1er décembre, sur un chemin au pied des fortifications du château de Belfort.
L'autopsie a montré que le décès était vraisemblablement dû une plaie à la carotide provoquée par un objet coupant. Le corps présentait de nombreux traumatismes faciaux et 25 traces de coups de couteau, a précisé Me Dreyfus-Schmidt.
Le meurtre de l'adolescent, qui n'était pas connu de la police, avait provoqué une vague d'indignation et une vive émotion dans la région.
L'autopsie et les premiers éléments de l'enquête montraient que la victime était décédée sur le lieu où elle avait été découverte.
AFP
Le jour du drame, le 27 novembre, le mis en examen et la victime, Pierre Nasica, 15 ans, "sont allés à un rendez-vous avec trois dealers au pied des fortifications de Belfort", a expliqué Me Alain Dreyfus-Schmidt.
"Les dealers, âgés d'environ 25 ans, ont violemment frappé Pierre et ont laissé partir mon client qui ne s'imaginait pas qu'ils allaient le tuer", a-t-il ajouté.
"Il ne connaît que les prénoms des ces personnes, mais il est prêt à les identifier. D'après lui, ce sont des personnes qui sont connues pour vendre de la drogue à Belfort".
D'après l'avocat, les deux jeunes garçons avaient une dette de 600 euros envers des dealers pour un trafic de haschisch et de cocaïne.
"Impliqué dans un trafic de drogue, mon client n'a pas prévenu les gendarmes lors de la disparition de Pierre. Quand on a retrouvé son corps, il est resté terré chez lui, terrifié à l'idée que les agresseurs puissent s'en prendre à lui", a dit Me Dreyfus-Schmidt.
L'avocat, qui "viole le secret de l'instruction dans l'intérêt de (son) client", a demandé sa remise en liberté.
Le jeune de 18 ans avait été mis en examen pour "homicide volontaire" et incarcéré en janvier. Il avait toujours nié les faits.
Pierre Nasica, un lycéen âgé de 15 ans, avait disparu le 27 novembre. Son cadavre, les mains liées et portant des traces de coups, a été découvert par la police le 1er décembre, sur un chemin au pied des fortifications du château de Belfort.
L'autopsie a montré que le décès était vraisemblablement dû une plaie à la carotide provoquée par un objet coupant. Le corps présentait de nombreux traumatismes faciaux et 25 traces de coups de couteau, a précisé Me Dreyfus-Schmidt.
Le meurtre de l'adolescent, qui n'était pas connu de la police, avait provoqué une vague d'indignation et une vive émotion dans la région.
L'autopsie et les premiers éléments de l'enquête montraient que la victime était décédée sur le lieu où elle avait été découverte.
AFP
Publié le jeudi 7 avril 2011 à 13h59